Et de 150 critiques ! Je vous avoue que je ne m’attendais pas forcément, quelques années plus tôt, à atteindre un tel palier ; mais bon, ça se fête. (Ça tombe bien, d’ailleurs, c’est la saison)
Et… ben, pour ça, on va faire simple : un mini-bilan de parcours, pour dire ce que j’ai le plus aimé parmi tout ce que j’ai pu traiter… et aussi ce que j’ai le plus détesté. Bon, pour cette catégorie-là, je crois que vous avez déjà une assez bonne idée de ce que je vais citer… mais pour le moment, parlons surtout du positif.
Bon, je pense que ces articles resteront assez rapides, vu que vous n’allez rien « apprendre » de spécial, tous les jeux cités ayant eu droit à leur critique ; et mon intention n’étant pas de m’étendre davantage dessus, vu que je l’ai déjà fait.
Bien sûr, précisons que ces classements restent totalement subjectifs ; même si, pour ma part, je me suis quand même efforcé la plupart du temps à relever des qualités plus objectives (ou des défauts) pour les élaborer.
En effet, malgré toute mon adoration pour certains jeux de cette liste, je reconnais qu’il y en a que je n’ai pas cités, et que je préfère parfois regarder à ceux que je vais citer dans ce classement. Certains me donnent effectivement davantage la pêche, comme N’oubliez pas les paroles ou Qui est qui ? ; j’ai également beaucoup d’affect pour certains concepts comme Motus… toutefois, je ne les considère pas comme spécialement meilleurs que les jeux de ce classement, et c’est la raison pour laquelle ils n’en font pas partie (mais ça ne change évidemment rien au fait que je les aime bien).
Précisons également qu’il y a certains jeux que je vais volontairement exclure certains jeux dont j’ai parlé de ces classements :
- Premièrement : même si j’ai parlé de certains jeux comme Les z’amours, Les 12 coups de midi, Le juste prix ou Le Bigdil d’une façon plus ou moins fréquente, je ne leur ai pas consacré de critique… et je ne pense d’ailleurs pas que ça arrivera un jour. De toute façon, je ne pense pas que je les aurais cités dans le classement positif (du moins pour Le juste prix et Le Bigdil, dont j’ai une bonne opinion) ; quant au négatif (plutôt Les z’amours et LDCDM du coup)… j’avoue que je ne sais toujours pas sur quel pied danser dans ces cas précis, les raisons pour lesquelles je ne les aime pas étant un peu trop à prendre avec des pincettes.
- Deuxièmement : je ne mentionnerai également pas les jeux d’aventure et apparentés. D’une part, j’aurais un peu l’impression de comparer des choux et des carottes ; et d’autre part, c’est surtout un domaine dans lequel je me suis lancé plus récemment, et pour lequel il me reste sans doute encore pas mal de concepts qui m’intéressent potentiellement à rattraper. Donc, pour moi, à ce stade, ce n’est pas intéressant de les inclure dans ma réflexion ; mais ça arrivera peut-être dans (très) longtemps, une fois que j’en aurai rattrapé suffisamment, dans un classement à part.
- Troisièmement : je vais également exclure les jeux Twitch et consorts (Time out, Culture Clash…) ; qui n’étaient de toute façon pas très nombreux (il faudrait que je voie s’il y en a d’autres susceptibles de m’intéresser d’ailleurs), et dont je ne pense pas qu’ils auraient figuré dans ces classements quoi qu’il arrive.
- Et quatrièmement… bon, c’est un cas ultra spécifique, mais je ne mentionnerai pas non plus Le grand concours ; qui, assez ironiquement, aurait pu faire partie des deux classements. Mais bon, je ne savais pas trop comment gérer ce grand écart qualitatif, d’autant plus que la déliquescence du programme a été très progressive ; et que je ne saurais même pas dire si le meilleur dont il a été capable concernait un si grand nombre d’épisodes que ça.
En revanche, même si je suis sans doute encore loin d’avoir rattrapé tous les concepts anglophones (ou pour lesquels il n’existe pas de version francophone) susceptibles de m’intéresser, je me permettrai de les inclure dans mes classements, car j’estime que certains le méritent.
Par ailleurs, il n’y aura pas non plus de distinction par rapport à la durée de ces programmes, donc pas de classement séparé pour les jeux de prime-time par exemple. (Et puis bon, vu mes préférences, le day-time restera bien plus représenté…).
Et enfin, se pose aussi la question des différentes versions potentielles, ou des ajustements réalisés en cours de route. En effet, les jeux n’étant pas gravés dans le marbre, ils ont souvent connu des modifications plus ou moins conséquentes, altérant de façon plus ou moins forte mon appréciation du concept. Ça a été un peu délicat à gérer ; par conséquent, si j’estime que les modifications restent assez mineures pour que ça ne remette pas mes propos en cause de façon trop importante, que je prends en compte des versions vraiment spécifiques, que je fais volontairement l’impasse sur certaines périodes, ou que je fais une « moyenne », je le préciserai. (Mais à nouveau, pour Le grand concours, ça aurait été plus délicat à gérer ; donc je suis plutôt parti sur une moyenne, qui l’aurait de facto exclu des deux classements)
15 – 5 anneaux d’or

Ça a été un peu difficile de choisir le numéro 15 de cette liste ; dans la mesure où pas mal de candidats correspondaient aux critères éligibles. En effet, je me doutais que j’allais y mettre un concept efficacement créatif et bien exécuté ; et j’avais le choix. J’ai notamment pensé au Coffre, à Jeopardy…
Et finalement, c’est 5 anneaux d’or qui vient compléter ce classement. Je pense que ce qui m’a fait mettre ce jeu un petit cran au-dessus, c’est tout l’éventail de possibilités offert par le concept à base de localisation de réponse sur une image, qui m’a très sincèrement surpris de par la diversité de questions qu’il était possible de poser autour de ça. En effet, au vu du peu d’imagination que j’avais, je m’imaginais qu’on allait se contenter de questions de géographie ou de détails visuels photoshopés… mais en fin de compte, ça va bien plus loin que ça. Puisque non seulement on peut brasser beaucoup de domaines différents ; mais aussi y incorporer de la réflexion et de la logique ! J’aime quand un jeu permet de solliciter plusieurs qualités différentes de façon fluide.
Les seuls petits reproches que je pourrais faire à ce jeu étant le côté légèrement répétitif et subi de la mécanique (celui-ci suivant plus ou moins une formule à la QVGDM, qui a néanmoins l’originalité d’être présentée en duel) ; mais bon, il y avait pas mal de marge de progression, voire carrément le potentiel de changer de formule sur le long terme. Enfin, si ce jeu en avait eu, vu qu’il a été injustement boudé… et ce ne sera évidemment pas le seul de cette liste.
14 – L’or à l’appel

Décidément, ça porte bonheur de viser l’or en le mentionnant dans le titre ! (… hum, cette blague aurait pu mieux fonctionner si Une famille en or avait été dans le classement, mais spoiler il n’y est pas…)
Bon, je ne vous cache pas que je ne suis pas le plus grand fan de l’ambiance à la Vincent Lagaf’ (et c’est l’une des raisons pour lesquelles je ne me sens pas trop de me lancer dans une critique du Bigdil), et que je trouve que deux ou trois aspects de L’or à l’appel ont pris un certain coup de vieux depuis le temps ; toutefois, je reste toujours particulièrement admiratif en ce qui concerne les ambitions de ce format.
En effet, faire un jeu en direct tous les soirs, qui a nécessité la mise en place d’un dispositif ambitieux pour servir l’un des cas d’interactivité avec le public les plus poussés que j’aie vus dans un jeu TV ; et, surtout, faire en sorte que toute cette mécanique soit bien huilée (moyennant quelques couacs, dont certains qui ont toutefois donné du charme au jeu), ça force le respect !
Et bien que je ne sois pas forcément client de ce type de divertissement, l’animation de Vincent Lagaf’, qui a dû gérer à la fois l’ambiance et le direct, est l’une des plus emblématiques du PAF à mon sens. Vraiment, j’aurais eu beaucoup de mal à imaginer quelqu’un d’autre dans cet exercice.
13 – 1000 Heartbeats

Un candidat que je n’envisageais pas particulièrement au premier abord pour figurer dans ce classement ; mais en y réfléchissant, il avait tout de même des qualités loin d’être négligeables pour y figurer.
1000 Heartbeats a là encore un concept efficacement créatif (même si pas totalement inédit, Zone rouge ayant déjà joué sur le self-control du candidat) ; mais, surtout, efficacement mis en scène, avec notamment le quatuor à cordes qui joue en s’alignant avec la fréquence cardiaque du candidat.
12 – Benchmark

La façon qu’a Benchmark de jouer sur son concept à base d’estimation de réponses numériques est non seulement très créative ; mais, de plus, très efficace, voire l’une des plus efficaces que j’aie pu voir pour un jeu de ce genre. Et ce, d’autant plus qu’elle propose un jeu à deux niveaux de lecture (celui du candidat principal, et celui autour des membres du benchmark), qui s’imbriquent d’une façon particulièrement astucieuse !
Bref, en matière de jeu d’estimation, j’aurais sincèrement aimé en avoir plus des comme ça ; plutôt qu’un Intuition très prétentieux pour ce qu’il est réellement…
11 – The Chase

Trois formats britanniques qui n’ont pas eu de VF à la suite ! Mais je vous rassure, les concepts bien de chez nous seront également mis à l’honneur… même si, en attendant, je vais plutôt dénigrer la France encore une fois ; car, quand je vois ce à quoi nous, nous avons droit dans le même genre, ça me déprime encore plus que pour Benchmark… vu que, tôt ou tard, nous avons cette fâcheuse manie de vouloir donner l’avantage aux champions par défaut, d’une façon plus ou moins prononcée.
Bref, c’est tout bête ; mais pour moi, ce qui rend The Chase aussi intéressant, c’est tout simplement le fait qu’il ait su développer un principe de confrontation asymétrique, qui, lui, tienne bien la route, en prenant conscience des forces du champion, et sans chercher à naturellement le favoriser ! Le club des invincibles n’en était cependant pas très loin, mais il aura malheureusement fini par commettre le péché de l’égalité départagée par défaut en faveur des champions… ou alors, il faut se contenter des saisons people-centrées, que j’ai toujours trouvé moins intéressantes.
Bref. Pour en revenir à The Chase, le jeu n’est pas complètement parfait non plus ; en particulier, j’ai toujours trouvé que les challengers pouvaient se marcher un peu dessus durant les finales. Néanmoins, on sent qu’il y a une nette volonté de contrebalancer le statut du champion, en équilibrant davantage les règles ; et ça peut vraiment donner des finales particulièrement exaltantes ! Largement plus que celles d’un certain autre jeu, dont vous pouvez être sûr de la présence dans le top 15 négatif…
10 – Qui veut gagner des millions ?

Sans doute l’un des jeux « pionniers » à avoir eu le plus d’impact dans la façon de concevoir un jeu TV ; et ce, d’une façon méritée.
Car non seulement Qui veut gagner des millions ? aura défini une nouvelle formule, mais il l’aura fait de façon très efficace ; si bien que c’était déjà l’une des itérations les plus convaincantes de celles-ci dès le départ, et que bon nombre de tentatives de redéfinir le format n’auront à mes yeux pas été aussi convaincantes que l’original (n’est-ce pas, Hot Seat et la version Combal ?).
Même si je reconnais qu’à la longue, je m’en suis un peu lassé, c’est le genre d’effet « Waouh ! » que j’aurais bien aimé revivre.
Et puis comment ne pas parler de ce jeu sans mentionner son ambiance, clairement l’une des plus marquantes pour un jeu de plateau, en particulier grâce au travail musical effectué par Keith et Matthew Strachan… d’ailleurs, à ce propos…
9 – Le numéro gagnant

Je sais que j’ai souvent tendance à mentionner ce jeu en déplorant le peu d’attention qu’on lui porte, notamment en comparaison d’un certain Que le meilleur gagne ; mais bon, quand je vois à quel point ce genre de formule peut être sublimé, ça me fait d’autant plus regretter que ce concept soit tombé dans l’oubli…
Outre l’ambiance visuelle et musicale, Le numéro gagnant arrive surtout à développer, autour d’une thématique commune (les réponses sous forme de numéro), trois concepts de manches particulièrement originaux ; même si leur efficacité est très variable. En particulier, la manche 2 présente un défaut m’empêchant de classer ce jeu plus haut ; mais la finale… mamma mia, qu’est-ce qu’elle en jette !
8 – Questions pour un champion

Un classique ! Bon, certes, Questions pour un champion n’est pas forcément un jeu que j’ai envie de me regarder tous les jours, n’étant pas spécialement friand de culture générale pure ; mais dans l’idée, c’est clairement l’un des meilleurs concepts que je connaisse qui mette cet aspect-là en avant, sans qu’il ne soit trop pénalisant (un problème que j’ai avec la culture générale, tant cet aspect peut être diffus). Et le tout, réparti sur trois manches complémentaires et bien pensées ; à tel point qu’elles n’auront jamais eu besoin d’évoluer autrement que par petites touches.
7 – Des chiffres et des lettres

Fraîchement traité dans le triptyque que je lui ai consacré, on va encore en dire un peu de bien pour la route ! … cela dit, je reconnais que mon appréciation dépend davantage des périodes dont on parle ; même si, dans le pire des cas, je garde toujours au moins une bonne impression de Des chiffres et des lettres.
De mon côté, j’ai notamment le coup de coeur pour les saisons du programme entre 1994 et 2022, qui étaient pour moi les plus proches du meilleur parti qu’on pouvait tirer de ce concept ; pour plusieurs raisons, selon la période. Que ce soit dans l’idée de proposer un système de score le plus équitable possible (1994-2000), introduire de nouveaux concepts avec les Duels (2000-2011), jouer sur une parité plus stricte entre les deux composantes du programme (2011-2016), ou encore refondre la mécanique pour en exploiter pleinement sa diversité (2016-2022).
Et dans (presque) tous les cas, on retrouve cette interactivité naturelle avec son public, invité à cogiter en parallèle, ainsi qu’une alchimie entre ses intervenants qui fait du bien.
6 – Burger Quiz

Tout simplement mon jeu d’ambiance préféré ; car Burger Quiz montre que l’humour n’est pas un prétexte pour bâcler la conception d’un jeu destiné à faire rire son public, mais peut être mis au service de sa mécanique. Et qu’il ne suffit pas juste de mettre des people balançant des vannes toutes les 30 secondes ou de faire des réponses stupides pour amuser la galerie ; mais qu’on peut faire un vrai travail d’écriture pour parvenir à ce but.
Et puis… le Burger de la Mort ! Ai-je besoin de développer ?
5 – Only connect

Quelque part, c’est le genre d’ambiance sérieuse à la Des chiffres et des lettres que j’aime bien ; mais qui, ici, est mise au service d’un concept qui fait la part belle à un travail d’écriture et de conception des questions… qui propose carrément à son public de « penser en dehors de la boîte ». Ce jeu a clairement quelque chose d’assez unique dans sa proposition, qui le rend vraiment notable.
4 – La gym des neurones

Il y eut une époque pas si lointaine, avant que 100% logique ne débarque avec ses gros sabots, où les jeux de logique et de réflexion savaient rester humbles, sans pour autant que leurs ambitions n’en soient moins élevées… mais La gym des neurones était peut-être un peu trop humble, au point où les archives télévisuelles de ce jeu hors inathèques sont devenues introuvables ; ce qui est pour moi un vrai scandale, alors que j’aurais tellement adoré pouvoir illustrer ma critique de la façon qu’il mérite…
Car ce jeu n’a beau être qu’un humble jeu de fin de matinée, on sent toute la passion que ses concepteurs avaient autour de ce concept : mécanique filée sur les deux premières manches, valorisation de la réflexion (de façon générale, bien au-delà d’un simple quiz de culture générale) au travers des différentes questions, réalisation de petites expériences entre deux questions… même le générique de fin faisait l’effort de proposer une énigme pour le public !
Bref, dans un sens, j’oserais presque dire que c’était l’âge d’or des jeux de fin de matinée ; et qu’est-ce que ça peut désormais me manquer…
3 – 8 chances de tout gagner !

Quelque part, j’avoue que je m’étonne moi-même en plaçant 8 chances de tout gagner ! aussi haut dans ce classement ; car, a priori, c’est un jeu de quiz qui paraît plutôt normal… et pourtant, c’est mon jeu de quiz préféré. Tout simplement car il concentre beaucoup d’ingrédients qui m’ont sincèrement plu, avec une exécution au poil, et des reproches que je pourrais lui adresser qui relèvent vraiment du niveau du chipotage avancé.
À l’instar du Numéro gagnant cité plus haut, j’aime cette thématique filée autour des 8 écrans, exploitée de trois façons différentes et originales, avec même un principe astucieusement filé sur les deux dernières manches ; et, cerise sur le gâteau, un habillage aussi bien visuel que sonore que j’aime beaucoup. Franchement, je n’en demandais pas tant à un jeu de fin d’après-midi de France 3 !
2 – Slam

Pas seulement parce que ça a été mon premier jeu TV en tant que candidat, et que j’ai plus qu’adoré cette expérience. Même avant ça, Slam restait un jeu que j’aimais beaucoup, de par la façon habile dont il a su concilier beaucoup de qualités différentes (culture générale, astuce, réflexion, stratégie, mémoire…) ; et le tout d’une façon tellement subtile qu’on ne le soupçonnerait pas au premier abord. Après tout, qui aurait pensé qu’une adaptation du principe des mots croisés avait de quoi proposer une telle richesse conceptuelle ?
D’autant plus qu’au départ, c’était juste un humble jeu estival de fin de matinée (et beaucoup de gens ont dû oublier par où il avait commencé), qui a pris pas mal de galon depuis 2009 ; et ce, à juste titre.
1 – Pyramide

Cela va sans dire, mais j’exclus naturellement le revival de 2014 ici ; qui était certes correct, mais qui souffrait un peu trop de la comparaison avec la version culte des années 90.
Je reconnais cependant que c’est sans doute le concept de cette liste avec lequel je manque le plus d’impartialité, et que sa première place vient davantage du coeur ; car en termes de mécanique et d’équilibrage, ce jeu n’était pas exempté de défauts ça et là.
Qui étaient néanmoins compensés par des qualités que j’aime très sincèrement : un principe délicieusement complexe avec une part de stratégie, jouant sur les mots, et exploité de façon variée ; une interactivité forte avec son public ; une alchimie entre ses différents intervenants ; une identité visuelle et sonore fortes… bref, pour moi, ce que ce jeu réussit très bien suffit à me le faire mettre en première place de ce classement.
Et voilà mon top 15 personnel des meilleurs jeux de plateau ! N’hésitez pas à partager vos préférences ; et, promis, je ne vous dirai pas d’aller au bûcher si TLMVPSP est dans votre liste.
D’ailleurs, n’hésitez pas aussi à expliquer en quoi vous aimez les jeux que vous proposez ; car j’aime beaucoup lire d’autres avis, qui peuvent parfois me faire réaliser des qualités qui m’ont échappé.
