Parce que Les 12 coups de midi n’a pas été la seule tentative de recyclage de concept de TF1 pour la “Reichmanniser” quelques années plus tard, on a également eu Au pied du mur (à ne pas confondre avec un ancien jeu de France 3 du même nom, sorti 20 ans plus tôt, et qui n’a aucun rapport), qui a cette fois-ci repris le principe de 1 contre 100.
Mais elle n’a cependant pas connu autant de “succès” que Les 12 coups de midi (ah, ben, on ne pouvait pas fourrer de système de champion illimité dans un concept à la 1 contre 100, aussi…). Ainsi, on a juste eu droit à deux sessions de diffusion estivales, en 2012 et 2014. Qui avaient cependant plutôt bien fonctionné en audience ; mais, apparemment, c’est TF1 qui ne semblait pas plus intéressée que ça pour relancer le concept de façon pérenne. Non pas que ce soit une trop grosse perte, parce que moi et les ambiances à la Reichmann…
Bon, je dis ça, parce que je n’ai pas adoré ce jeu ; toutefois, à l’instar d’1 contre 100, mon opinion à son sujet a évolué au fil du temps. Mais cette fois-ci, plutôt dans le bon sens. Parce qu’autant j’avais “adoré” 1 contre 100 à l’époque, pour que, 15 ans plus tard, il me déçoive à cause d’un souvenir que j’avais un peu trop enjolivé ; autant je n’avais pas aimé Au pied du mur à l’époque, pour finalement le revoir à la hausse 10 ans plus tard, au point de même l’apprécier dans une certaine mesure.
Et je pense que la raison principale pour laquelle j’avais une opinion aussi tranchée au départ, c’était le fait que les deux jeux ne visaient pas la même ambiance (même si on sent que, l’un comme l’autre, ils étaient vraiment dans l’état d’esprit de TF1) ; et que j’étais beaucoup moins fan du style de jeu auquel Jean-Luc Reichmann nous a habitués…
En plus de ça, vu qu’on appliquait la même recette que pour Crésus/Les 12 coups de midi (que j’avais déjà au travers de la gorge à l’époque, parce que j’aimais bien Crésus mais ne supportait – et ne supporte toujours pas – son remake) à un autre format que j’avais apprécié, ça ne me mettait vraiment pas dans de bonnes conditions pour que je puisse me lancer dans le visionnage sans a priori négatif…
Néanmoins, si Au pied du mur a droit à sa critique sur mon blog, mais que Les 12 coups de midi n’y a pas droit, c’est parce qu’APDM ne s’est pas juste contenté de reprendre les règles du jeu de base quasiment à l’identique (quitte à les remanier légèrement après) en y appliquant une ambiance à la Reichmann et un système de champion illimité à la con.
En effet, au niveau des règles, on a cette fois-ci des différences davantage significatives par rapport à 1 contre 100, qui méritaient que j’en parle plus en détail. Alors, lançons-nous.
Des ajustements de règles… plus ou moins au point
Globalement, le principe reste le même que pour 1 contre 100 : un candidat en affronte 100 autres ; si un membre du Mur se trompe sur une question, il est éliminé ; si le candidat se trompe, il perd tout et le Mur gagne. La cagnotte est là encore calculée en fonction du nombre d’éliminés dans le Mur ; mais cette fois-ci, le mode de calcul est différent (j’y reviendrai).
Une mini-nouveauté : parfois, les réponses sont proposées sous forme d’illustrations, comme ici. Néanmoins, comme l’animateur continue à citer les réponses à voix haute, ça ne change finalement pas grand-chose.
Vous vous souvenez que, lorsque j’avais comparé Un contre tous et 1 contre 100, le premier favorisait davantage le Mur, alors que le second favorisait davantage le candidat.
Au pied du mur continue un peu ce ping-pong, puisque, cette fois-ci, la mécanique du jeu favorise davantage le Mur… et de très loin !
Première chose : le candidat ne peut cette fois-ci pas partir quand il le veut. Pendant les questions, il n’a pas d’autre choix que de répondre (pas de partage entre le Mur et le candidat en cas d’abandon cette fois-ci) ; et même après avoir répondu à une question, il ne pourra partir que dans des circonstances bien particulières.
En effet, avant de jouer, on désigne aléatoirement (via une mise en scène plutôt dispensable) deux membres du Mur, qui seront colorés en vert pour le reste de la partie. Ces personnes sont appelées « porte de sortie ». Pour que le candidat puisse partir à la suite d’une question avec les gains amassés jusqu’ici, il faudra qu’il élimine au moins l’un de ces deux candidats sur celle-ci. Sinon, tant que l’un des deux ne se trompe pas, il sera forcé de continuer. Si les deux portes de sortie sont éliminées, et que le candidat décide de continuer… ça dépend de l’année. En 2012, il devra parvenir à éliminer l’intégralité du Mur pour pouvoir gagner ; en 2014, il pourra cependant partir quand il veut, ce qui est un peu plus raisonnable.
Notons au passage que ces deux candidats porte de sortie n’étaient désignés qu’après la première question en 2014, sans raison particulière…
Comme je le disais dans ma critique de 1 contre 100, j’étais plutôt pour instaurer un système où le candidat ne pouvait pas partir systématiquement lorsqu’il le voulait, ou du moins sans contrepartie. Au pied du mur propose une solution pour arranger ce point, et c’est louable. En revanche, je trouve qu’elle n’est cependant pas très convaincante ; et la raison tient très majoritairement à ce système de portes de sortie.
D’une part, comme c’est un tirage au sort qui se charge de sélectionner les portes de sortie, on peut tomber aléatoirement sur des candidats de bon niveau ou non ; et donc, des candidats qui pourraient très bien être éliminés aussi bien au bout d’une ou deux questions, que de onze ou douze questions. Donc ça rend la possibilité de repartir avec un niveau de gains honorable très aléatoire… si c’est pour faire ça, autant regarder A prendre ou à laisser.
D’autre part, ça risque de faire minimiser les prises de risque de la part du candidat. Si les deux portes de sortie sont éliminées, mais que le gain potentiel du candidat est trop faible, il devra soit s’en contenter, soit aller totalement jusqu’au bout (du moins en 2012). Heureusement que la version 2014 atténue un peu ce problème, en autorisant la sortie à tout moment une fois les deux portes de sortie éliminées.
Et enfin… ça ne rend pas les victoires du Mur très méritoires. Il suffit que les portes de sortie ne se trompent jamais pour garantir la victoire du Mur. Donc dans ce cas de figure, on résume la victoire d’une centaine de personnes (enfin, celles encore en course, bien sûr) à seulement deux personnes. Certes, elles auront elles aussi tenu aussi longtemps que les portes de sortie ; en revanche, elles auront aussi profité du fait qu’elles ont conditionné le candidat à ne pas pouvoir sortir de la partie de lui-même. Pas terrible pour un jeu qui veut mettre en avant une centaine de candidats.
Quitte à désigner des occasions de s’arrêter pour le candidat, je pense que ça aurait été plus judicieux de partir sur un autre critère que sur deux membres du Mur tirés au sort. Par exemple, proposer au candidat s’il souhaite continuer ou non après un nombre fixe de questions, par exemple toutes les 3 ou 4 questions.
Malgré la ténacité du candidat et le nombre de personnes qu’il a réussi à éliminer, les portes de sortie (colorées en vert) sont toujours là… et pas de sortie, pas d’argent.
En outre, l’impossibilité de s’arrêter lorsqu’il le souhaite n’est pas le seul désavantage qu’a le candidat par rapport à 1 contre 100.
De 3 jokers mis à disposition dans le jeu animé par Benjamin Castaldi, il n’en reste plus que deux (voire un seul) dans celui animé par Jean-Luc Reichmann. C’est quand même très paradoxal de donner moins de chances de « survivre » au candidat, dans une version où il ne peut déjà pas partir quand il le souhaite. Imaginez si QVGDM avait fait de même, et que les candidats n’auraient pas pu s’arrêter par eux-mêmes : le nombre d’émissions avec un gain à 1 500 euros aurait été légion, et l’émission aurait eu moins d’intérêt…
Pour être plus précis : en 2012, le candidat ne dispose plus que d’un seul joker, le « Passe-passe », qui est l’équivalent du « Je passe » de 1 contre 100 (mais avec un nom plus digne de l’ambiance Reichmannesque…). C’est… mieux que rien, j’imagine…
En 2014, il aura aussi droit au « Passe-passe », mais également au « Mur-mur » (ces noms, sérieusement…), qui est l’équivalent du « Qui pense comme moi ? ». C’est a priori plus généreux qu’en 2012 ; toutefois, ces jokers ne seront pas mis à sa disposition dès le départ. Il ne débloquera le premier joker qu’après avoir éliminé la première porte de sortie, et le second après avoir éliminé la seconde. On en revient au problème du côté aléatoire des portes de sortie, si celles-ci ne se laissent pas éliminer très rapidement…
Le petit symbole « avance rapide » présent en haut à gauche indique que le candidat dispose encore de son premier joker.
Bref, pour résumer le principal inconvénient de ces modifications : d’un jeu un peu trop favorable pour le candidat seul, on tombe dans l’excès inverse, avec un jeu trop sévère pour celui-ci.
En outre, on perd beaucoup en dimension stratégique : là où le candidat avait plus de choix à sa disposition auparavant (les trois jokers, la possibilité de s’arrêter quand il veut, y compris pendant une question – au risque de gagner moins d’argent…), ici, il ne fait pratiquement que subir le jeu la plupart du temps. C’est dommage, et ça réduit pas mal l’intérêt du concept de base.
Des nouveaux enjeux monétaires
Les autres nouveautés de Au pied du mur concernent la gestion des gains potentiels.
Pour commencer : la façon de faire monter la cagnotte évolue. Cette fois-ci, la cagnotte ne monte que par paliers de 10 membres du mur éliminés, et le numéro de question n’a plus d’influence sur les sommes gagnées.
Pour chaque dizaine de membres du mur éliminés, la cagnotte progresse, selon une échelle de gains donnée.
Nombre de membres du mur éliminés | Montant de la cagnotte en 2012 | Montant de la cagnotte en 2014 |
10 | 2 500 € | 1 000 € |
20 | 5 000 € | 2 500 € |
30 | 10 000 € | 5 000 € |
40 | 15 000 € | 7 500 € |
50 | 25 000 € | 10 000 € |
60 | 40 000 € | 20 000 € |
70 | 60 000 € | 30 000 € |
80 | 80 000 € | 50 000 € |
90 | 100 000 € | 100 000 € |
100 | 200 000 € | 200 000 € |
Dans un sens, ce nouveau mode de calcul ne se fait pas trop au désavantage du montant de la cagnotte (du moins avec l’échelle de gains de 2012, en 2014 en revanche les premiers paliers étaient un peu radins). Dans 1 contre 100, non seulement le montant était calculé en fonction du numéro de question posé ; mais de plus, il fallait attendre un certain nombre de questions avant que le coefficient multiplicateur ne soit vraiment avantageux. Ici, on s’affranchit de cette contrainte.
Il y a cependant deux légers revers de la médaille avec cette façon de faire : d’une part, le niveau des questions devient assez homogène (là où il était relativement croissant dans 1 contre 100, pour justifier les gains plus élevés), et par conséquent un peu monotone ; d’autre part, comme le calcul se fait par dizaines, ça ne changera rien qu’il y ait 91 ou 99 éliminés dans le mur.
Mais bon, on va dire que c’est plutôt mineur.
Le système d’élimination par paliers. Comme on vient de remplir le palier à 5 000 € en éliminant 10 membres du Mur, on passe au suivant.
Cela dit, là où la gestion monétaire me convainc un peu plus, c’est dans le fait que le Mur n’est pas autant lésé que dans son prédécesseur. Là où je trouve que le Mur se faisait souvent avoir dans 1 contre 100, c’est un peu moins le cas ici.
Ah, et malheureusement, un point qui n’a pas changé par rapport à 1 contre 100 : le gain final est toujours partagé avec un spectateur… je vous invite à relire ce point de ma critique précédente, si vous voulez me revoir râler là-dessus. Mon opinion n’a toujours pas changé à ce sujet.
Une ambiance à la Reichmann… moins ennuyeuse que d’habitude
Enfin, parlons à présent de l’ambiance, au sujet de laquelle je me suis déjà plus ou moins étendu en introduction…
A peu de choses près, le plateau de jeu reprend la disposition de celui de 1 contre 100, la seule différence notable étant l’écran de projection des questions qui se situe au milieu du Mur de candidats. Qui rend au passage le Mur un peu plus horizontal qu’il ne l’était dans 1 contre 100. Je trouve ça légèrement moins impressionnant, la verticalité étant plus porteuse pour marquer le côté « massif » du Mur.
En revanche, au niveau de la charte graphique employée, celle-ci est beaucoup moins sobre. Alors que 1 contre 100 restait dans des tons majoritairement froids pour appuyer les enjeux importants ; ici, c’est beaucoup plus coloré. Les cases du mur changent régulièrement de couleur façon arlequin, les questions sont affichées avec des tons plus clairs… bref, on sent qu’on veut donner une ambiance un peu plus « joyeuse », un peu plus « Reichmann » (clairement, je ne vois pas du tout cet animateur prendre la tête d’un jeu comme Qui veut gagner des millions).
Ce à quoi je répondrais que 1 contre 100 n’avait pas une ambiance pesante façon Maillon faible pour autant, malgré sa charte graphique… et que ces changements étaient donc plutôt dispensables pour ma part.
Mais bon, même si ça fait renvoyer au programme une ambiance plus chaleureuse et des enjeux moins importants, ça appuie le changement de version, et ça ne reste pas non plus désagréable à regarder.
En revanche, pour parler de quelque chose de bien plus désagréable, je vais m’attarder sur un détail certes peu significatif, mais qui m’a profondément irrité durant la saison 2012 : l’effet sonore lors de la validation des réponses.
Alors, oui, vous allez me dire que je peux pas dévaluer tout le jeu juste à cause de ça… mais je vous jure que je l’ai trouvé profondément gavant. Non seulement il n’est pas agréable du tout, mais en plus de ça, on doit subir cette horreur auditive environ toutes les quatre minutes. Je vous jure, à chaque fois que je l’ai entendu, j’ai eu envie de me tirer une balle dans la tête. Ce n’est pas pour rien qu’il s’agissait de la seule chose dont je me souvenais de ce jeu 10 ans plus tard, et qui m’en avait laissé un souvenir négatif pour cette raison-là.
Pour vous le décrire, imaginez un trompettiste qui a subi un chagrin d’amour, qui s’est bourré la gueule pour tenter d’oublier, et qui a voulu entamer un solo de trompette, mais qui a eu envie de gerber au bout de quelques notes… en fait, à défaut d’avoir piqué le système de champion de Tout le monde veut prendre sa place, Au pied du mur aura piqué l’idée de l’effet sonore de validation (enfin, invalidation dans le cas de TLMVPSP) à base d’un solo de trompette pas très agréable à écouter. Quoique, on avait déjà ça dans Attention à la marche (avec les réponses « tout pile »), mais il fallait bien que je fasse ma pique syndicale envers TLMVPSP.
Cependant, j’ai l’impression que les producteurs eux-mêmes se sont aperçus que cet effet sonore courait sur le haricot des spectateurs, puisque ce sera le seul effet sonore qui ne sera pas repris en 2014 (on l’entendra juste à la fin du générique, mais c’est tout). A la place, on aura un jingle mi-musique de James Bond, mi-jingle de Money Drop, un peu sorti de nulle part, mais largement plus supportable.
Ah, et durant la session de 2012, il y avait également un poisson à côté de Reichmann et du candidat. Juste… pourquoi ?
Bon, après, le reste de l’ambiance sonore ne cassait vraiment pas des briques… le générique et un ou deux jingles sont encore acceptables ; mais pour le reste, on a quelques effets sonores soit oubliables, soit ridicules. Et surtout assez disjoints, en fin de compte…
Et sinon, l’autre élément d’ambiance que je n’ai pas apprécié, c’est le style d’animation de Jean-Luc Reichmann. Mais bon, ça, je m’y attendais, de toute façon. Ca reste un style que je n’apprécie pas des masses, de façon générale, à titre personnel.
Je reconnais cependant qu’APDM est loin d’être le jeu où celui-ci m’a le plus agacé. Franchement, quitte à choisir entre ce jeu-là et Attention à la marche, je n’hésiterais pas une seule seconde, et je prendrais la première option.
Bref, tous ces éléments mis bout à bout font qu’APDM a une ambiance finalement plus chaleureuse que 1 contre 100.
D’une part, je trouve ça un peu dommage, car j’aime bien quand un jeu met en avant une ambiance visuelle plus froide, lorsque c’est approprié. Je suis généralement moins fan des jeux visuellement bariolés.
Mais d’autre part, c’est justement parce que l’ambiance se veut un peu plus chaleureuse, et donc bienveillante, qu’APDM est presque plus agréable à regarder qu’1 contre 100, par moments.
Certes, on rappelle toujours un peu l’antagonisme entre le Mur et le candidat ; en revanche, on force beaucoup moins la dose dessus. De fait, le Mur paraît beaucoup plus calme, et un épisode d’APDM est bien plus reposant à regarder qu’un épisode de 1 contre 100. Même si je n’adhère toujours pas plus que ça aux ambiances à la Reichmann (décidement, je cite son nom très souvent, dans cette critique…), c’est au moins un point positif que je ne peux pas retirer.
Et, en fin de compte, je trouve que ce n’est pas plus mal d’avoir donné à ce jeu-là une identité assez différente de celle de 1 contre 100, y compris en lui attribuant un nom différent, afin de marquer cette différence.
Je pense que ça aurait été un peu trop perturbant de continuer à appeler ce jeu-là « 1 contre 100« , dans la mesure où l’ambiance recherchée n’était pas la même.
Total : 11,5/20
Bon, c’est un peu difficile pour moi de montrer un enthousiasme démesuré au sujet de Au pied du mur, étant donné que j’ai toujours un peu derrière la tête le changement d’ambiance impliqué par sa nouvelle incarnation.
Mais avec le temps… j’ai réussi à apprécier davantage ce que ça pouvait proposer, et les points positifs qu’on pouvait en tirer. En particulier le côté un peu plus reposant que l’effervescence de son aîné, ainsi qu’une réinvention de la mécanique pas inintéressante dans l’idée.
En revanche, la formule parfaite reste encore à trouver. Dans 1 contre 100, d’un point de vue des règles, si je pouvais trouver le candidat légèrement trop avantagé dans ce dernier jeu, je trouve qu’il tend un peu trop à subir la mécanique dans celui-ci. Le meilleur équilibre Mur/candidat est délicat à déceler…
Après, tel quel, ce jeu se regarde, finalement. Et je trouve même qu’il a plus de mérites que Les 12 coups de midi, qui a lui aussi suivi la même formule de remise au goût du jour d’un concept un peu oublié ; mais qui, lui, n’avait même pas fait l’effort de réinventer quoi que ce soit…
Et ainsi se conclut ce petit triptyque sur les façons d’opposer un candidat seul à des candidats regroupés en Mur.
Pour la prochaine fois, on se passera du candidat en solo, pour garder uniquement le Mur… et, malheureusement, ce ne sera clairement pas pour le mieux.