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#010 – Un contre tous

Dans la plupart des jeux TV de day-time, on fait généralement s’affronter quelques candidats (du moins pour ceux qui sont basés dessus, i.e. pas les Qui veut gagner des millions, Money Drop etc.) ; mais dans des proportions qui restent raisonnables. En général, on a deux, trois, quatre, cinq, voire six candidats ; parfois un peu plus, comme Le maillon faible qui est monté jusqu’à 9 ou La Cible qui est montée jusqu’à 12…
Dans un sens, c’est normal. Comme on aime bien faire un minimum connaissance avec les candidats, que les jeux ne durent pas non plus très longtemps (en général, on ne dépasse pas les 50 minutes de jeu pour le day-time), et que ce serait de toute façon un peu trop ennuyeux d’avoir des phases de présentation à rallonge, on ne va pas non plus trop en faire.
Néanmoins, ça n’empêchera pas certains jeux de mettre en scène de grandes quantités de candidats ; le maximum que j’ai en tête étant de 200. Au sujet d’un jeu dont on parlera ultérieurement ; et dont j’aurais d’ailleurs pu parler en premier, puisqu’il a été à ma connaissance le pionnier du genre. Mais comme je vais surtout en parler négativement, et que j’ai plutôt envie de traiter du positif pour le moment, je vais plutôt parler d’un autre jeu du genre pour commencer.

Un contre tous (à ne pas confondre avec 1 contre 100, dont on parlera la prochaine fois) était donc un jeu diffusé sur France 3, durant l’été 2005, et présenté par Vincent Perrot ; et l’adaptation d’un jeu belge nommé Septante et un, présenté par Jean-Michel Zecca, et diffusé sur RTL-TVI depuis 2003.
Force est de constater qu’en Belgique, avec plus de 20 ans de diffusion à son actif, c’est un succès. Aussi, la France a tenté d’importer le concept, avec la société de production Réservoir Prod qui en a racheté les droits ; mais là, en revanche, ça a été un échec, le jeu n’étant resté à l’antenne que pendant deux mois.
Un échec qui, je pense, était surtout à imputer à une programmation particulièrement défavorable. En effet, d’une part, c’est un concept qui, à mon sens, aurait peut-être un peu mieux collé à France 2 qu’à France 3, vu l’ambiance qui y était recherchée ; et, d’autre part, il était diffusé sur la case de 13 heures, soit une case qui a presque toujours été maudite pour la chaîne (forcément, face aux JT de France 2, et surtout de TF1…), jusqu’à ce qu’elle ne lance Météo à la carte dessus. Un contre tous n’a pas été le seul jeu à se casser les dents sur cette case-là ; et mon petit doigt me dit qu’à l’avenir, il y aura certainement d’autres jeux qui en ont été issus dont je serai amené à parler… car certains valaient vraiment le coup, et auraient mérité une meilleure exposition.

La mécanique d’affrontement

Dans Un contre tous, nous avons un candidat, qui devra en affronter 70 autres. Le but du candidat seul sera d’éliminer les 70 autres ; le but des 70 autres sera de subsister pour pouvoir remporter quelque chose et empêcher le candidat seul de remporter le gros lot.
A partir de maintenant, je désignerai le candidat seul par « le candidat » et les 70 autres par « le panel » ou « le public ».

Le candidat peut quand même compter sur le « soutien » de l’animateur.

Le jeu comporte 10 questions (avec 3 propositions de réponse) auxquelles répondre. Pour chaque question, le candidat et le panel disposeront de 7 secondes pour répondre ; puis la réponse du candidat est dévoilée. Ensuite, on voit combien de membres du panel sont éliminés suite à cette question.
Le candidat et le panel ne sont en effet pas traités de la même manière : en effet, si un membre du panel répond incorrectement à la question, il est éliminé ; si le candidat répond mal, il ne l’est pas. Mais, en contrepartie, non seulement il ne remporte pas l’argent mis en jeu par la question ; et, de plus, un membre du panel qui a été éliminé revient dans la compétition (sauf pour la dernière question, où aucun candidat ne peut être repêché).

Les trois premières questions permettent de remporter 100 euros ; les questions 4 à 6, 200 euros ; les questions 7 à 9, 400 euros ; et la question 10, 500 euros.
Cet argent sert à faire monter le montant d’une cagnotte. A la fin de l’émission, celle-ci sera remportée :

  • soit par le candidat, s’il a réussi à venir totalement à bout du panel ;
  • soit par le panel, s’il reste au moins un membre actif de celui-ci à l’issue de la dernière question. La cagnotte est alors remportée par les membres encore en lice, et ceux-ci se la partagent.

Si le candidat ne parvient pas à éliminer tout le monde, il remporte toutefois 10 euros par membre du panel qu’il a réussi à éliminer.

Affichage d’une question : on voit son numéro, son enjeu, et les trois thèmes proposés.

Pour information, dans Septante et un, le public reste le même pour 6 émissions consécutives ; et a donc six fois l’occasion de pouvoir remporter quelque chose, contrairement au candidat unique qui ne joue qu’une seule fois. En revanche, ces émissions étant diffusées dans le désordre, on n’a pas forcément le même public deux fois de suite ; et ce, afin que le spectateur ne se rende pas compte que le public est commun à plusieurs émissions. Une approche différente de celle d’1 contre 100, qui assumera d’avoir le même panel durant toute la semaine.
Je ne pourrai en revanche pas confirmer s’il en est de même pour Un contre tous ; mais je suppose que ça doit être à peu près la même chose.

Les outils dont dispose le candidat

Pour que le candidat puisse atteindre son objectif de pouvoir éliminer ses 70 concurrents en 10 questions, il aura quelques avantages.

Déjà, pour commencer : le choix des questions.
Pour les six premières questions, le candidat a le choix entre trois thèmes, derrière lesquels se cachent une question en rapport. Pour les quatre dernières questions, il n’y a pas de thème, le candidat choisit directement parmi les trois questions proposées.
En outre, Vincent Perrot donne, à titre indicatif, quelques professions représentées dans le panel, ce qui peut donc aider le candidat à faire son choix.

Le candidat disposera également d’un joker, le « Blik » (… ne me demandez pas pourquoi il s’appelle comme ça, j’imagine qu’il fallait lui trouver un nom), disponible à partir de la quatrième question, qu’il pourra utiliser sur n’importe quelle question par la suite.
Cet outil permet, dans un premier temps, de voir ce que le panel a répondu à la question. Puis, en connaissant le résultat, le candidat a le choix entre maintenir sa réponse, changer de réponse, ou bien changer de question. Ce qui a plusieurs avantages : potentiellement lui garantir une meilleure occasion de faire monter sa cagnotte, s’il n’est pas sûr de sa réponse à la base ; et changer de question, s’il estime que trop peu de membres du panel risquent d’être éliminés dessus.

Bon, là, c’était un cas de figure où tout le public avait été éliminé ; donc, forcément, on a du zéro partout… mais le candidat peut quand même changer de réponse ou de question…
… aussi, j’ai dû aller voir du côté de la version originale pour trouver un exemple où le Blik a servi à sonder le public. Ici, c’est plutôt serré d’ailleurs.

Bref, on donne tout de même quelques outils au candidat, ce qui donne une mécanique de jeu globale plutôt satisfaisante… enfin, à quelques détails près.

La petite faille de cette mécanique de jeu

Pour gagner, le candidat doit éliminer l’intégralité du panel en 10 questions… mais quid si un membre du panel résiste encore et toujours, en décidant de ne jamais répondre faux aux questions, malgré tous les efforts déployés par le candidat pour qu’il n’y parvienne pas ?

On a donc un léger problème avec cette mécanique, avec un cas de figure où, théoriquement, un candidat peut ne pas gagner le gros lot, pour des circonstances indépendantes de sa volonté…
Pire : dans un scénario théorique idéal, si tous les membres du mur étaient restés présents à la fin, le candidat n’aurait rien pu gagner, quand bien même celui-ci aurait été très performant tout du long…
J’entends bien qu’on a tout de même donné quelques outils au candidat pour qu’il puisse éliminer un maximum de gens… mais malgré cela, ceux-ci ne sont pas une garantie de pouvoir éliminer tout le monde. Et pour cause : le nombre de questions reste fixe pour chaque émission, donc au bout de la dixième, il faut forcément désigner un vainqueur par défaut. Et ce vainqueur par défaut… c’est le panel.
Bref, en dépit des outils dont le candidat dispose, la balle reste théoriquement dans le camp du panel.

Donc, à l’instar de la version maestro de N’oubliez pas les paroles ou de TLMVPSP, on se retrouve avec une mécanique globale où le scénario « impossible de battre la concurrence à cause d’une règle mal pensée » peut se produire…
Et c’est d’ailleurs quelque chose qui me gêne un peu avec les jeux « asymétriques » de façon générale, qui assument la différence de statut entre les candidats, et qui ne prévoient pas de mécanique plus élégante pour départager les cas litigieux. Je reconnais néanmoins que dans le cas de Un contre tous, ça aurait été plus difficile de prévoir un scénario pour éviter ce genre de cas.

Mais bon, en pratique, ce n’est pas aussi gênant que j’en donne l’impression.
D’une part, car, si le candidat ne parvient pas à éliminer tout le monde, il gagne tout de même un montant proportionnel au nombre de gens qu’il a réussi à faire sortir (10 euros par personne éliminée). Ce qui rend tout de même ses efforts méritoires, et ça reste un lot de consolation tout à fait acceptable, là où NOPLP et TLMVPSP ne se donnent même pas cette peine…
D’autre part, même si c’est théoriquement possible, ça n’arrive bien évidemment jamais que les 70 membres du panel ne fassent un sans-faute du début à la fin… donc, quoi qu’il arrive, on évite le scénario ultra frustrant. À moins de donner des questions vraiment trop faciles, mais bon… (remarquez, dans 1 contre 100, une grande partie du mur a été éliminée sur une question où on demandait la couleur obtenue par le mélange de deux couleurs primaires, comme quoi…)

Ça n’empêche toutefois pas le problème d’avoir un candidat qui ne peut pas faire le meilleur score à cause de circonstances indépendantes de sa volonté… mais ça permet de l’atténuer d’une façon pas trop frustrante.

Après chaque question, l’écran central nous révèle le nombre de membres du panel encore en lice.

Les gains… mouais.

Cela étant, je vous avoue que la relative faiblesse des gains mis en jeu atténue également un peu le point précédent.
Bon, forcément, case horaire et France 3 obligent, le budget n’est pas particulièrement élevé, ce qui n’est pas forcément un défaut en soi… mais ça le devient un peu quand le concept prend de l’intérêt avec des sommes plus fortes.

Déjà, pour rappel, les questions valent chacune de 100 à 500 euros, soit un montant total théorique de 2 600 euros, si le candidat fait un sans-faute.
Si le candidat parvient à éliminer tout le monde, il remporte cette cagnotte. Vu le montant maximal mis en jeu, ça va, ça reste honorable.
S’il reste des membres du panel encore en lice, en revanche, ce sont eux qui vont se partager le montant de la cagnotte. Et là… ça peut être un peu plus embêtant, puisque plus il y aura de « survivants », moins ils vont remporter d’argent… or, vu que les sommes mises en jeu ne sont déjà pas particulièrement élevées, imaginez donc si une vingtaine de candidats doivent se partager un montant de l’ordre de 1 000 euros, ça ne leur fera vraiment pas grand-chose… et même le candidat remporterait largement plus qu’eux au final (avec 10 euros par personne éliminée, il gagnerait dans l’ordre de 500 euros pour une vingtaine de membres du panel encore en lice).

En fait, j’expliquais tout à l’heure que la mécanique globale faisait en sorte que la balle était dans le camp du panel, puisque c’était celui-ci qui avait le dernier mot… mais, finalement, sa situation n’est pas forcément avantageuse non plus, dans la mesure où trop de bons éléments dans celui-ci diminue également les chances de chacun de ses membres de gagner gros.
Bref, malgré ce que j’ai pu dire, le rôle du candidat reste quand même le plus enviable.

Après… selon la façon dont on le perçoit, on peut considérer le panel soit comme un ensemble de candidats qui est là pour jouer, soit juste comme un public auquel on a donné une fonction plus interactive, avec des bonus potentiels à la clé.
Donc j’imagine que si on perçoit le panel de cette seconde façon, on se sentira moins frustré par la faiblesse de leurs gains potentiels.
En outre, là encore, en pratique, ce n’est pas non plus monnaie courante qu’autant de membres du panel ne restent présents à la fin. Tant qu’on reste sur un échantillon qui ne dépasse pas 10 personnes, ça peut encore rester acceptable.

L’ambiance… France 3, je ne te reconnais pas !

Pour finir, un mot sur l’ambiance du jeu… qui est plutôt déroutante, quand on a l’habitude des jeux de France 3 !
Déjà, ça doit être très facilement l’un des jeux les plus animés que cette chaîne a eu l’occasion de connaître. Même si on est encore assez loin d’une ambiance à la TF1 à ce niveau-là (ça, ce sera pour la critique suivante), le panel est très actif pour réveiller tout le monde.
En fait, on sent que tous ses membres sont « chauffés » pour mettre l’ambiance, en s’opposant activement au candidat. Il faut avouer qu’un public qui souhaite que le candidat perde, on ne voit pas ça tous les jours dans les jeux TV…
Ainsi, chaque mauvaise réponse du candidat est applaudie (… ce qui n’est pas forcément une bonne chose pour le panel, puisque la cagnotte ne monte pas le cas échéant…) ; lorsqu’on révèle le nombre de membres du panel encore en course, celui-ci acclame les manches où peu d’entre eux ont été éliminés, et hue celles qui ont plutôt été des hécatombes pour lui ; et à la fin du jeu, même s’il n’y a plus qu’un seul membre qui représente le panel, celui-ci le soutient activement et se réjouit lorsqu’il gagne (… même si les 69 autres n’ont rien à y gagner, mais bon).

Et j’en parle rapidement ici : mais Un contre tous avait été tourné sur le plateau de Septante et un, i.e. en Belgique. Une décision qui avait sans doute dû être motivée par les moyens mis en œuvre pour la production, vu qu’il fallait un plateau de jeu assez grand, avec 70 sièges pour le public, tous dotés du nécessaire pour le faire jouer.

On la ressent, la confrontation entre le panel et le candidat.

Un mot rapide sur Septante et un

Avec une bonne vingtaine d’années d’existence, Septante et un a pu bénéficier d’aspects qui lui ont été plus spécifiques, et dont on va parler ici… assez rapidement cela dit, ceux-ci n’étant pas non plus très nombreux.
En effet, Septante et un n’a jamais fait évoluer sa formule de façon très marquée, en dépit du problème de mécanique évoqué plus haut ; ce qui n’est malheureusement pas sans me rappeler TLMVPSP, qui n’a jamais fait évoluer sa formule véritablement dans le bon sens… mais bon, je reconnais que dans le cas de ce jeu-ci, ça me gêne moins.

La première modification un peu notoire que le jeu ait connu, c’est la sélection du candidat qui joue contre le public.
Jusqu’en 2012, ce candidat était casté séparément du public ; puis, par la suite, le public s’est composé de 71 personnes, dont le candidat est issu. De 2012 à 2017, c’était une question de rapidité qui permettait de le sélectionner ; et à partir de 2017, il est tiré au sort par ordinateur. Bon, je reconnais que ça pouvait être tentant de sélectionner le candidat directement dans le public ; en revanche, quitte à le faire, la question de sélection me semblait une meilleure idée (même si, à seulement trois propositions, elle ne devait pas écrémer beaucoup de monde).
Cependant, à partir de 2020, le candidat unique est de nouveau casté séparément. Très probablement un impact du Covid ; qui sera finalement resté par la suite, puisque, malgré un retour en présentiel de tout le monde (le public jouait alors depuis chez lui durant la période Covid), le candidat unique continuera à être sélectionné de cette manière. Un peu dommage ; mais je reconnais que je préfère peut-être cette façon de faire à celle de juste le tirer au sort.

Et l’autre modification de mécanique un peu notable apporté au jeu se trouve au contraire à la fin de celui-ci.
Il consiste en l’ajout d’une question « Quitte ou double » (depuis 2012), au cas où le candidat aurait réussi à éliminer tout le public ; à choisir parmi trois questions proposées par l’animateur. Bon, c’est assez explicite : soit le candidat ne tente rien et repart avec sa cagnotte ; soit il tente la question et la réussit, et double par conséquent son gain ; soit il la tente et la rate, et repart bredouille.
Un ajout bonus qui est toujours bon à prendre ; mais pas particulièrement intéressant selon moi, vu qu’il ne s’inscrit pas spécialement dans la continuité de la mécanique du jeu. En fait, c’est le genre d’ajout bonus qu’on pourrait trouver un peu n’importe où…
Par ailleurs (ajout de 2023), cette règle s’étend également au public, si d’aventure un membre de celui-ci réussit à gagner seul. À nouveau, pas de quoi casser trois pattes à un canard…

Enfin, plus superficiellement, on peut aussi citer un changement de plateau de jeu, survenu lui aussi en 2023 ; où celui-ci passe d’un amphithéâtre de faculté à une disposition plus proche de celle de 1 contre 100 ; bref, quelque chose qui fait davantage « mur à degrés ». Et qui rend plutôt bien, d’ailleurs, ça fait même plus moderne.

Ah, et avant de terminer, je dois dire que j’aime beaucoup ce titre belge.
Il joue subtilement à la fois sur le nombre de candidats, mais également sur le fait que l’un d’entre eux en particulier se démarque de tous les autres. On peut effectivement comprendre « Septante et un » comme « 71 » ; mais aussi comme « 70 + 1 ».
C’est dans ce genre de cas que je regrette qu’en France, on tienne mordicus à garder nos exceptions numériques du genre « Soixante-dix », « Quatre-vingts » et « Quatre-vingt-dix » (bon, ok, en Belgique on dit aussi « Quatre-vingts » pour une raison qui m’échappe… en fait, je vais plutôt aller migrer en Suisse, je crois). Non seulement ça rend inutilement plus complexe notre système de numération par pur plaisir de se démarquer ; mais en plus, ça nous prive d’un bon titre pour la version française ! Ben oui, si on l’avait nommé « Soixante-et-onze », la subtilité du titre belge serait complètement passée à la trappe, puisqu’on n’a pas 11 candidats pour affronter 60 membres du public… donc à moins de réduire le nombre de candidats à un maximum de 61, il a fallu qu’on se contente d’un titre davantage passe-partout (après, pour l’époque, ce genre de concept n’était pas très courant non plus, donc ça passait encore) ; à tel point que Wikipédia confond sans arrêt ce jeu avec 1 contre 100. Mais ça, je m’en plaindrai la prochaine fois…

Total : 12,5/20

Un contre tous est un jeu qui vaut vraiment le coup d’œil. Sa mécanique d’affrontement a certes quelques défauts, mais elle est plutôt intéressante, bien rythmée, et avec ses quelques surprises et rebondissements tout le long du jeu.
Et… ben, je n’ai pas grand-chose à rajouter de plus. Si ce n’est qu’on se donne rendez-vous la prochaine fois pour parler d’un concept semblable…

garsiminium

Enchanté, moi c'est garsim. Bienvenue sur mon blog, où je parle de différents sujets, légers comme moins légers.

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