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#007 – Trouvez l’intrus

Ce qui m’a intéressé lorsque je me suis lancé dans cette série d’articles sur les jeux TV, c’est l’idée de parler de ce que j’ai pu trouver inspirant dans la plupart des jeux que j’ai pu regarder. Ce qui peut les rendre plus ou moins remarquables, mais qui fait que j’arrive tout de même à m’en souvenir, même si on n’en parle quasiment plus des années plus tard. Bon, après, pour l’instant, j’ai surtout parlé de jeux connus (histoire de potentiellement faire accrocher un lectorat avec des marques qui lui parlent) ; mais ils le sont pour une (ou plusieurs) raison(s).
Et ça marche aussi bien pour les jeux que j’ai sincèrement aimés ou appréciés, que les jeux que je n’ai pas aimés voire détestés. Car même si je n’ai pas aimé un jeu, ça peut toujours être intéressant de savoir pourquoi, et à quel degré. Ainsi, même si TLMVPSP est le jeu que je déteste le plus pour diverses raisons, je ne nie pas que, d’une part, il a des qualités non négligeables qui font que c’est loin d’être le pire jeu que je n’aie jamais vu ; et que d’autre part, même sa façon d’être « raté » à mon sens est intéressante, et méritait que je parle de ce programme.
Mais on a aussi des jeux qui sont juste plats. Pas forcément mauvais pour autant, mais qui ne se démarquent pas particulièrement de la masse, et qu’on oublie assez vite. Personnellement, je ne pense pas que j’en traiterai beaucoup ; ou alors, ce sera dans un contexte plus spécifique.
Bref, si je parle de tout ça, c’est parce que le jeu d’aujourd’hui a, dans un sens, réussi un certain exploit. Celui d’être à la fois l’un des plus plats que je connaisse ; mais à un point où j’ai trouvé ça carrément insultant. Car non seulement il n’a aucune qualité réelle à faire valoir ; mais, de plus, il n’a même pas été fichu d’exploiter sa formule simpliste d’une façon correcte.

Et ce jeu, c’est Trouvez l’intrus. Un jeu produit par Air Prod (société de production de Nagui, notamment), qui sera arrivé en 2016 sur France 3, en même temps que 8 chances de tout gagner ! et qui occupera lui aussi les week-ends de la chaîne (avec le samedi pour Trouvez l’intrus, et le dimanche pour 8CDTG). Je trouve ça d’ailleurs assez ironique de voir un tel fossé qualitatif entre ces deux jeux arrivés en même temps, et arrivés sur France 3 dans la même optique.
Mais là où on sent tout le travail préparatoire qu’a nécessité 8CDTG pour voir le jour ; Trouvez l’intrus est au contraire un format que j’ai trouvé particulièrement paresseux, conçu à la va-vite et dégainé juste pour occuper une case qui, de toute façon, n’est pas vouée à faire des audiences notables, alors pourquoi faire des efforts… Bon, au cas où les producteurs me liraient et me rétorqueraient que je suis mesquin en disant ça ; honnêtement, quand je vois le résultat final, j’ai sincèrement beaucoup de mal à croire que Trouvez l’intrus a fait l’objet d’un brainstorming poussé et d’une réalisation passionnée. Surtout par rapport aux autres productions auxquelles Air Prod m’a habitué, comme on aura sans aucun doute l’occasion d’en reparler dans de prochaines critiques.
Et ce qui me dégoûte le plus, c’est que cette paresse conceptuelle ait tout de même duré 6 ans !!! Soit à peu près la longévité du Maillon Faible à l’époque TF1, rien que ça ! Et 6 mois de plus que 8 chances de tout gagner !!! Quand je vois pléthore de jeux beaucoup plus créatifs que ça qui n’ont même pas pu dépasser un an, voire quelques mois, à cause d’une case horaire défavorable ou une pression trop forte mise sur leurs épaules, ça me sidère que ce truc ait pu durer aussi longtemps !!! Mais bon, j’imagine qu’entre le manque d’ambition de France 3, et le fait que le public du créneau n’est pas particulièrement sensible à l’innovation et à la créativité, ça n’a pu faire qu’encourager cette mentalité du rien à battre…
D’ailleurs, la fin du jeu en 2022 a très probablement été motivée par des raisons budgétaires, davantage que pour des questions d’audience ou la volonté de France 3 de monter en gamme. Mais bon, je vais m’abstenir de parler de la rentrée télévisuelle 2022 pour le moment, sinon je m’énerverais encore davantage, déjà que ce jeu fait très bien le job. Et il est temps que je m’y lance.

L’habillage sonore : du repompage

Commençons au passage rapidement par le générique et les effets sonores : ce ne sont pas des effets « inédits » spécifiquement conçus pour le jeu. En effet, il s’agit d’un repompage pur et simple des éléments sonores du jeu Le coffre, qui fut lui aussi une production Air Prod. Certes un peu oubliée depuis le temps, puisque le jeu n’aura duré qu’un an, en 2004 ; mais qui fait partie de ces jeux largement plus intéressants que je mentionnais plus tôt…

Alors, bon, je sais que le spectateur lambda, qui ne suit pas assidûment les jeux TV (surtout qu’on parle d’un jeu diffusé 12 ans plus tôt et qui n’a pas tant marqué les esprits que ça), ne l’aura sans doute pas remarqué ; et même si ça avait été le cas, il s’en ficherait certainement. Mais :

  • d’une part, je ne trouve pas que cet habillage soit spécialement adapté à ce jeu-là. Le Coffre était un jeu qui se voulait un peu plus stressant, avec un enjeu plus difficilement atteignable. Là où, même si Trouvez l’intrus veut se donner de grands airs à ce sujet, il reste un jeu de fin d’après-midi de France 3…
  • d’autre part, je ne trouve même pas cette bande-son particulièrement agréable. Même dans Le Coffre, je la trouvais déjà un peu trop répétitive, avec ses trois notes majeures (son « tin-tin-tiiin ! » – désolé, c’est pas évident à retranscrire à l’écrit…) un peu gavantes ; donc, quitte à reprendre la bande-son d’un autre jeu, on aurait pu trouver mieux à mon goût…
  • et, enfin, le simple fait de reprendre cet élément pré-existant est symptomatique d’une certaine paresse dans la conception du jeu, puisqu’on ne fait même pas l’effort de composer quelque chose de plus spécifique. Je ne demandais pas spécialement à avoir une BO du niveau de celle de Qui veut gagner des millions ?, mais au moins quelque chose qui se serait un tant soit peu démarqué…

Et s’il n’y avait que ça d’aussi peu créatif dans ce jeu… voyons plus en détail le reste.

Les deux premières manches… existent

Le concept de ce jeu est sensationnel : il faut… trouver l’intrus, parmi plusieurs propositions qui correspondent à un thème donné. Bref, du QCM un peu déguisé, quoi. Et pas particulièrement rendu intéressant autrement…
Les deux premières manches comptent chacune trois propositions de réponse.

Bon, plus précisément, les quatre candidats pour la manche 1 (puis 3 pour la manche 2) répondent en même temps à la question posée. S’ils répondent faux, ils ne marquent aucun point. S’ils répondent correctement, le plus rapide remporte 4 points, le deuxième 3, etc.
Un principe… déjà vu. Dans Harry, plus précisément. En fait, dans sa mécanique globale, Trouvez l’intrus me rappelle pas mal Harry, notamment dans sa seconde version (par rapport à la manche 3 et le champion qui arrive comme une fleur… j’y reviendrai), au point même où je me demande s’il n’y a quand même pas eu une « légère » inspiration à ce niveau-là… ce qui est d’autant plus problématique pour un jeu sorti peu de temps avant, durant la même décennie. Et à choisir, je préfère Harry, qui a une mécanique légèrement plus originale ; bon, les jeux de type « anagrammes » ne sont certes plus très originaux, mais au moins cette émission s’est davantage amusée avec sa mécanique de base pour compenser cet aspect-là.
Ici, en revanche, le fait d’avoir des questions de culture générale comme dans la plupart des jeux TV, ça reste très lambda, et ça fait très fade. Et (spoiler) je pourrais d’ailleurs en dire autant du reste du jeu, puisqu’aucune manche ne brille particulièrement par son originalité ou par une mécanique très recherchée. Ce sera toujours du QCM où il faudra trouver l’intrus parmi plusieurs propositions, avec une mise en scène très basique.


Honnêtement, c’est vraiment histoire d’apporter un support visuel à cette critique ; mais franchement, du QCM, ça n’a rien de palpitant à montrer, quoi…

En manche 2, le principe est le même, sauf que seul le candidat le plus rapide marque des points. Par ailleurs, le nombre de points en jeu croît à chaque question (la première question ne vaut qu’un seul point, la deuxième deux, etc.)… mouais. Ca me paraît plus pertinent dans Questions pour un champion, où c’est plus dynamique et où il y a davantage de questions.

Cette manche 2 va par ailleurs soulever un problème qui était déjà présent en manche 1, mais qui va être encore pire durant celle-ci.
Dans l’idée, récompenser le candidat le plus rapide n’est pas un mauvais principe (après tout, c’est ce que fait QPUC, et personne ne s’en plaint). Mais là, la mise en scène rend la compétition moins pertinente à ce niveau-là.
Je m’explique : dès que la question est lancée et que l’animatrice dit « Trouvez l’intrus », les candidats doivent se jeter sur leur pupitre pour sélectionner la bonne réponse. Ce qui leur a laissé quelques petits instants de réflexion avant de pouvoir répondre, qui peuvent être suffisants pour trouver la réponse. Donc dans ces circonstances, une fois les hostilités lancées, ça devient plus un concours de « Qui va appuyer sur son pupitre le plus vite possible » en jouant à la milliseconde… et récompenser un candidat juste parce qu’il sait appuyer plus rapidement sur son écran tactile qu’un autre qui avait la bonne réponse en même temps que lui… bof. Les 9 points gagnants de QPUC évitent cet écueil car la question est posée oralement, et les candidats peuvent tenter des réponses avant que l’animateur ne termine de la formuler ; donc même si ça peut se jouer dans un mouchoir de poche, dans ce cas-là, le moment où les candidats buzzent correspond réellement au moment où ils ont le déclic et qu’ils se disent qu’ils ont la réponse. Sans la latence qu’ils ont dans Trouvez l’intrus.
On avait déjà ce problème en manche 1, où les candidats pouvaient jouer dans un mouchoir de poche à quelques millisecondes près, et où un candidat pouvait se retrouver avec un seul point sans avoir démérité par rapport à celui qui en avait 4 ; mais là, c’est pire, puisqu’un seul candidat peut avoir les points à chaque fois. Et c’est même encore plus embêtant quand le nombre de points en jeu est croissant sans raison.


A l’issue de la manche 1, un candidat est éliminé ; à l’issue de la manche 2, seul le meilleur candidat reste.
Les deux manches se jouent avec quatre questions chacune, sauf en cas d’égalité où une question subsidiaire est posée. Au moins, ces manches-là gèrent mieux le système d’égalité que la suivante, qui, elle, gère ça d’une façon lamentable… au moins, j’aurai certes plus de choses à dire sur la manche 3, mais clairement pas en bien.

Incroyable, encore un jeu avec un système de champion mal foutu…

On sent que Nagui a été inspiré par l’époque où il co-produisait TLMVPSP, parce qu’on retrouve parmi certaines de ses autres productions le côté déséquilibré du système de champion. Que ce soit la version maestro de N’oubliez pas las paroles… ou encore ce jeu-ci.
Et vous savez à quel point j’adooooore les systèmes de champion qui favorisent celui-ci… eh bien, ici, ça doit être le jeu dans lequel cette mécanique est à la fois la plus paresseusement mise en place et la plus mal foutue. A tel point qu’on en arrive à un stade où le système de champion donne l’impression de faire partie du cahier des charges du jeu, mais qu’on ne savait pas trop comment l’incorporer, alors voilà ce qu’on a proposé.

La manche 3, à l’instar du reste, manque beaucoup d’originalité dans son principe : on pose trois questions à choix multiples à chaque candidat, celui qui a le meilleur score va en finale. Voilà.
Mais le système de champion en fait facilement la pire du lot.
Déjà, parce qu’on se retrouve avec un jeu où le champion zappe le début et intervient comme une fleur au bout de plusieurs manches ; et là encore, ça n’a pas du tout été inspiré de Harry, dont la seconde version des règles avait mis ce système en place un an plus tôt…
Mais surtout : parce qu’elle comporte très peu de questions, et qu’il est incroyablement simple pour le champion de la gagner.

Cette fois-ci, la confrontation ne se fait pas à la rapidité, mais avec des questions individuelles. Le champion a le choix entre deux thèmes présentés par des jeux de mots (… bon, c’est un chouïa amusant, je le reconnais, et c’est bien la seule chose qui me fait sourire dans cette manche ultra mal foutue), il prend celui qui l’inspire et laisse l’autre au challenger. Bon, on inverse lors de la question suivante, mais comme au final on réinverse à la question d’après, la champion a encore l’avantage à ce niveau-là… et certes c’est loin d’être aussi affreux que le choix en finale de TLMVPSP (les thèmes n’étant pas non plus sciemment trop simples ou trop difficiles), mais quand même.
Première question : le champion a le choix entre trois propositions de réponse et gagne 5 points s’il a bon, puis le candidat fait de même. Idem pour la deuxième question. Quant à la troisième, il y a le choix entre quatre propositions, et cette fois on gagne 10 points en cas de bonne réponse.
Celui qui a le plus de points va en finale, et en cas d’égalité c’est (évidemment…) le champion qui l’emporte.


La seule fois dans le jeu qui parvienne à me faire un peu sourire : les intitulés des thèmes. Ca fait au moins un petit détail qui n’a pas été raté dans cette manche (même si j’ai déjà vu ça dans Harry – encore). C’est… mieux que rien, j’imagine.

En plus d’avoir un principe d’une banalité encore plus affligeante que les deux manches précédentes (et il fallait le faire…), cette manche n’est ni faite, ni à faire ; et elle représente facilement l’un des plus gros foutages de gueule que je n’aie jamais vu dans un jeu TV.
Outre sa mécanique ultra simpliste qui casse un peu la cohérence avec les deux premières manches (pourquoi passer d’un système de rapidité à un système individuel ?), là encore on se retrouve avec un système qui avantage beaucoup trop le champion, pour les mêmes raisons que pour TLMVPSP. Mais cette fois-ci, le choix des thèmes intervient assez peu, le problème venant surtout de la simplicité évidente pour le champion de pouvoir faire un sans-faute et de ne laisser strictement aucune chance de gagner au challenger. Merci pour la figuration !
Car le sans-faute n’a vraiment rien de difficile à faire, vu qu’il faut juste répondre correctement à trois questions à choix multiples (3 pour les deux premières, 4 pour la troisième)…
Au moins, dans des jeux qui ont le même problème potentiel de ne laisser aucune chance au challenger en cas de sans faute du champion, le sans-faute n’est pas si évident à faire que ça : dans N’oubliez pas les paroles, ce n’est pas rien de chanter toute une chanson sans se tromper sur un seul mot, et dans TLMVPSP, on va jusqu’à 6 questions et on peut moduler le score de chacune d’entre elles…

Et ce système de champion vainqueur en cas d’égalité est d’autant plus idiot que rien ne justifie d’y recourir pour départager les candidats…
Autant je peux encore vaguement comprendre que dans NOPLP et TLMVPSP, c’était un peu plus difficile de trouver un moyen plus esthétique pour départager les candidats, car la mécanique de jeu globale ne s’y prête pas vraiment (entre autres, difficile d’imaginer des buzzers dans un jeu comme NOPLP…).
Mais ici, Trouvez l’intrus n’a même pas cette excuse, puisque, justement, les deux premières manches se jouaient à la rapidité, rendant par conséquent encore plus stupide le choix de faire des questions individuelles pour cette manche…
Au moins, la deuxième version de Harry l’avait compris, ça, et proposait une mécanique au buzzer pour éviter d’avoir à recourir au statut du champion pour départager une égalité… vous vous inspirez de ce jeu sur plusieurs aspects, mais pas sur ça ? Occasion manquée !

Donc, vraiment, aucune excuse pour ce système de champion ultra bancal. Attendez-vous à ce que la note finale soit salée en grande partie à cause de ça.

Ah oui, au fait, y a une finale…

Mais bon, oublions donc deux secondes cette manche irritante au possible, pour passer à une nouvelle manche fade : la finale.
Rien de bien original là encore, le candidat doit répondre à quatre questions en QCM (avec cette fois 5 propositions de réponse), et gagne davantage d’argent lorsqu’il répond correctement, mais ça s’arrête à la première erreur. Sensationnel.
Ah mais attendez, il y a un énorme monticule avec des portes qui s’ouvrent toutes seules et sur lesquelles on projette des images ! Ca change tout, pas vrai ? … en fait, non, ça fait plus « cache-misère » qu’autre chose pour moi.


Bling-bling.

Et au final, cette finale résume bien le second problème que j’ai avec ce jeu : sa mise en scène inutilement grandiloquente.
Certes, l’habillage du jeu passe correctement. Davantage visuellement qu’auditivement, mais correctement quand même.
Mais il me donne l’impression que ce jeu se prend pour quelque chose de plus élaboré qu’il ne l’est réellement. C’est l’impression que me renvoient les portes qui s’ouvrent, c’est aussi l’impression que me renvoie la bande son (en même temps, comme elle est tirée d’un jeu avec une ambiance plus forte où elle était plus appropriée, c’était inévitable), pas désagréable mais qui laisse un peu imaginer un côté épique pour un principe qui ne l’est clairement pas (ça reste du QCM vaguement déguisé…) et pour des enjeux corrects sans plus (on n’est pas dans Qui veut gagner des millions où les enjeux sont élevés, ça reste du gain standard de France 3…).

Total : 5/20

À ce stade, je n’ai pas grand-chose à rajouter. Trouvez l’intrus est un jeu plat, sans grand intérêt et paresseusement conçu ; à tel point qu’il ne s’est même pas soucié de faire quelque chose qui tienne un tant soit peu la route avec son système de champion (ni fait, ni à faire), ni d’avoir des qualités un tant soit peu notables.
Sincèrement, je peine vraiment à lui trouver des points positifs ; et, surtout, des points positifs qui lui seraient plus spécifiques. Certes, l’animation d’Églantine Éméyé est correcte ; mais elle est surtout fonctionnelle, et ne se démarque pas particulièrement d’autres jeux dans le même genre. Certes, le jeu arrive à se tenir à un concept « fil rouge » sans en dévier, là où d’autres jeux proposent parfois des manches hors sujet ; mais ce n’est clairement pas un grand exploit, surtout quand le concept en question est aussi simpliste et basique d’un QCM vu, revu et re-revu dans pléthore de jeux.
Et finalement, c’est pour ça que Trouvez l’intrus est (et restera pendant longtemps) l’un des pires jeux que j’aurai pu traiter sur ce blog. Ça peut effectivement surprendre qu’un jeu aussi « inoffensif » voire osef fasse partie de mon flop 3 ; mais la façon dont il se plante lamentablement dans un contexte où il n’avait strictement aucune difficulté à faire mieux le justifie amplement.

Mais pour vous montrer que je ne dédaigne pas les jeux sans grandes ambitions, la prochaine fois, on parlera d’un programme dans la même veine ; mais qui, lui, assumait mieux cet aspect-là…

garsiminium

Enchanté, moi c'est garsim. Bienvenue sur mon blog, où je parle de différents sujets, légers comme moins légers.

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